Appelons un chat, un chat

Il faudrait que le gouvernement arrête de nous obliger ou de nous faire croire que les PDs, les travelos, les gouines et autres bizarreries du genre sont comme le commun des mortels. Parce que c'est faux ! D'ailleurs, si c'était vrai, il n'y aurait pas autant de lois qui interdisent les contempteurs, les opinions, l'exclusion, les « Non merci, je n'en veux pas ni en face, ni à côté de moi » ou les « Désolé, ce n'est pas ma tasse de thé ». Alors que c'est notre droit de ne pas aimer se faire ramoner la cheminée, le coca-cola, les Anglo-Saxons, les mondialistes, les wokistes ou les femmes avec une bite. Et de pouvoir le dire aussi. Car il y a en a marre des mots : discrimination, complotisme, conspirationnisme, antisémitisme, xénophobie, homophobie ou islamophobie. Expressions utilisées à tout va pour nous prendre pour des cons et nous châtier afin de nous faire taire. Le fait est que les minorités imparfaites sont irrationnellement plus protégées que l'eau, l'air, le sable et les espèces en voie d'extinction. Résultat, avec l'ère Macron et sa dame, qui paraît-il, serait un transsexuel, c'est le pompon. Nous sommes passés de l'asile de fous à la cage aux folles sans période de transition. La suite est dans le livre. Bonne lecture !